30 novembre 2006

La non-réciprocité, maladie de l'Islam

Un touriste allemand d'origine égyptienne a été condamné par le tribunal de première instance d'Agadir (sud du Maroc) à six mois de prison ferme et à une amende de 45 euros pour avoir "tenté d'ébranler la foi d'un musulman", a-t-on appris de source judiciaire mercredi à Rabat.
(...)
Le Code pénal marocain punit de trois mois à trois ans de prison "quiconque utilise des moyens de séduction pour ébranler la foi d'un musulman ou le convertir à une autre religion".


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14 novembre 2006

N'ayons pas peur des mots

Déjà en 1999 dans le Figaro : « Nos responsables de l'ordre public sont acculés au piège mortel du choix entre se ridiculiser en ne faisant rien, ou déclencher une guerre civile. En effet, imaginons que le préfet réagisse par la fermeté en faisant encercler la cité par plusieurs escadrons de CRS et en la faisant investir par cent policiers pour procéder aux arrestations. Ils auraient déclenché une émeute sanglante à l'intérieur, car ces bandes disposent de stocks d'armes, et l'émeute aurait tourné à l'embrasement lorsque les bandes armées des cités voisines seraient venues attaquer de l'extérieur les cordons de CRS qui les encerclaient. Un tel embrasement local, lorsqu'il se produira, s'étendra aux autres banlieues des autres grandes villes et la guerre civile se répandra dans tout le pays. C'est pourquoi nos responsables de l'ordre public préfèrent choisir la lâcheté et le ridicule, ce qui, bien sûr, ne peut qu'aggraver les problèmes, en confortant les cités dans leur volonté d'interdire toute incursion sur leur territoire. » (Paul Lambert, Le Figaro, 09/09/1999).

N'ayons pas peur des mots. Le concept de guerre civile larvée est approprié pour décrire ce qui se passe en France en ce moment. La politiquement correct a peur des mots qui décrivent la réalité.